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Salon de la maquette et du jeu - Cherbourg 2001

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les gars sympas du club de Rouen avant leur bataille Sécession. Une belle table qui attire l'œil. Remarquez la grandeur de la salle !
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Cordialement invités par l'illustre représentant du club de Cherbourg, Frédéric Hardit, nous voilà en route pour la métropole de la Manche septentrionale pour participer à un salon maquettes, jeux et uniformes en l'an de grâce 2001 (deux jours de week end en février). Le commando de choc pour cette mission périlleuse était composée de Chocos et Philippe pour Demonworld, de G.A. et Yvan pour le jeu d'histoire (napoléonien et Pegasus Bridge, notre carte de visite).

Première bonne surprise: la salle est immense et on a plein de place! Deuxième bonne surprise: "c'est déjà ouvert, avec tous ces gens dans la salle? Non, ce sont les exposants…". Bref, une vraie ruche en plein travail. Troisième bonne surprise: c'est super bien organisé, nos tables sont déjà en place et installées.

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Yvan bien fatigué le soir continue quand même à expliquer les rudiments de la stratégie napoléonienne.

Voilà-t-y pas qu'on a peine le temps de déballer nos petites affaires et d'aller s'offrir un merveilleux repas gastronomique (genre hamburger nord-américain) que la foule afflue. Comme nous avions fait le choix de l'initiation, nos tables sont occupées sans discontinuer, à la fois pour jouer et pour regarder car l'intérêt de notre passion est d'être aussi visuellement attractive. Pendant que G.A. connaît un gros succès en enfilant les parties de Pegasus Bridge, Yvan initie les ados aux charmes de l'époque napoléonienne alors que Chocos et Philippe s'étripent joyeusement en expliquant aux visiteurs les règles (simplifiées pour l'occasion) de Demonworld.

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les petits jeunes découvrent les joies du DBA en 15 mm. Comme quoi, on peut jouer sans grande table aussi …

Un vrai marathon que je vous dis! Nous étions contents le samedi soir de trouver le restaurant de Cherbourg encore ouvert, pour reprendre des forces. Le lendemain matin, le réveil fut rude (croissant à l'aspirine pour tout le monde!). Croyez-vous que le dimanche calmerait les ardeurs des visiteurs? Que nenni! Dès l'ouverture le matin, il y avait déjà la queue! Et c'était reparti pour une journée! Il a fallu chasser les derniers visiteurs vers 18 h.
Le dimanche soir, nous étions fort crevés mais fort contents de cette affluence record, répercutée dès le week end par les journaux locaux (G.A. a - encore - fait la "une" locale avec Pegasus).

Moralité pour réussir un beau week end comme celui-là:

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L'inusable G.A. explique une 33e fois les règles de Pégasus. Une affaire qui tourne !
  • La coopération avec les autres clubs est un pilier de la réussite. Avec nous étaient aussi conviés les gars sympas du club Claymore de Rouen, avec une très belle table Sécession. Ce qui faisait en tout trois clubs normands. L'union fait la force.
  • La multi-activités a été une clé de la réussite. Nous étions avec des maquettistes (pas seulement militaires), des figurinistes, des collectionneurs d'uniformes, des joueurs de fantastique (surtout Warhammer)… Bref il y en avait pour tous les goûts et le public y a trouvé son compte. Nul doute que les maquettes attirent en premier et que les gens découvrent au passage le jeu d'histoire.
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    Philippe déploie son armée Demonworld en profitant des 5 minutes où personne ne lui pose de question.
  • Une très bonne organisation, de l'espace pour circuler facilement et voir les tables, des tables en nombre suffisant, une grande salle… C'est tout bête mais c'est important.
  • Un espace en centre-ville avec des facilités de parking : les visiteurs n'ont eu aucun mal à trouver, à se déplacer et à se garer.
  • Un prix d'entrée modique (10 francs pour les adultes) qui a assuré au club des recettes importantes.
Bon, quand est-ce qu'on y retourne?